ONPEUT cultiver une culture

La culture est un élément délicat. Les définitions du mot abondent, apparemment sans fin dans leurs itérations, mais en termes simples, comme nom, c’est simplement la façon de vivre pour un groupe de personnes. Elle provient de toutes les manières de l’existence humaine, émergeant au fil des générations jusqu’à ce qu’elle devienne la façon dont les choses ont toujours été.

Mais c’est aussi un verbe, cultiver, c’est-à-dire faire croître de la matière vivante dans un milieu culturel. De cette façon, nous pouvons favoriser la croissance de divers organismes dans les conditions appropriées.

Rassemblez le verbe et le nom et vous obtenez l’idée que nous pouvons cultiver une culture; nous pouvons favoriser le développement d’une façon de travailler pour un groupe de personnes.

Bien que la définition de culture (et de cultiver) soit relativement simple, créer, changer et vivre la culture demande un effort bien plus grand. Créer une culture, dans n’importe quel lieu ou organisation, exige un effort soutenu extraordinaire.

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Et à quelle fin? Eh bien, dans le sport, cultiver la bonne culture (une culture d’excellence) mène à une chose très souhaitable : la constance de la haute performance.

« Nous comprenons que notre culture organisationnelle a probablement un effet important sur la performance », explique Cathy Tong, directrice, Haute performance – Longue piste à Patinage de vitesse Canada. « Si nous pouvons nous efforcer de créer une culture de haute performance, nous pouvons en tirer de nombreux avantages. »

C’est un résultat évident, mais difficile à atteindre.

Des dizaines d’années de succès précèdent aujourd’hui les patineurs de vitesse longue piste les plus rapides. Alors, pourquoi et comment prendre une des équipes les plus prospères au pays et bâtir une meilleure culture? Il s’avère que même dans un sport qui a toujours été l’un des meilleurs au Canada, il y a place au changement, à la croissance et à l’amélioration.

L’approche consiste à comprendre que vous n’avez pas besoin de continuer à faire ce que vous avez toujours fait, même si ça fonctionne. C’est la compréhension qu’il peut y avoir, et qu’il y a, une meilleure façon de faire les choses.

Lorsque Bart Schouten, entraîneur de l’équipe nationale à Patinage de vitesse Canada, est arrivé au Canada il y a douze ans des Pays-Bas, chaque groupe d’entraînement travaillait en vase clos. « Les patineurs étaient en concurrence, mais les entraîneurs aussi », se rappelle-t-il. Beaucoup de médailles ont été remportées malgré cela, mais avec le temps, les lacunes dans la culture entourant la réussite ont été révélées.

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Changer la tendance de la mentalité de cloisonnement a pris des années, mais les choses sont maintenant différentes.

« Un élément qui est vraiment différent maintenant est la confiance », affirme Todd McClements, entraîneur de l’équipe nationale à Patinage de vitesse Canada, qui travaille de concert avec M. Schouten, entraîneur du groupe masculin de longue piste. « Vous ne pouvez pas en arriver là sans pouvoir vous fier les uns aux autres. »

M. Schouten est d’accord. La confiance, dit-il, a permis une culture de coopération, utilisant l’expertise de chacun. « Il faut un groupe de personnes qui veut apprendre à se connaître, qui veulent vraiment travailler ensemble », explique-t-il. « C’est un groupe qui a appris au fil du temps que c’est la coopération qui vous amène le plus loin. »

L’équipe de soutien intégré fait partie de ce groupe et de son expertise, et son ouverture à travailler ensemble, comme le suggère M. Schouten, est un élément important de ce qui a rendu possible un changement de culture. « Cela ouvre la porte pour que l’équipe de soutien intégré puisse jouer un rôle plus important », dit M. Schouten.

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Au cours des dernières années, l’équipe de soutien intégré a été une unité solide et efficace, mais l’une des lacunes était un manque de pollinisation croisée constante entre les disciplines. Cela s’est produit parfois, mais pas toujours. L’équipe a reconnu qu’elle voulait améliorer cette situation.

Le changement de culture était déjà commencé depuis plusieurs années, mais c’est le bilan de l’année 2018 qui a donné le cap à la culture qui a émergée au cours de la période quadriennale suivante. Mme Tong souligne que la confiance, la transparence, la clarté et l’approche individualisée au sein de l’équipe sont des facteurs clés de la création de la nouvelle culture.

Rassembler les athlètes, les entraîneurs et l’équipe de soutien intégré pour définir les valeurs communes était le point de départ. Ce qui en a découlé, c’est une équipe d’experts interdisciplinaires qui fonctionne en harmonie, mais pas toujours parfaitement, avec les entraîneurs, les athlètes et le personnel.

Tissant tous les fils ensemble est l’équipe de gestion de la haute performance, un groupe créé pour surveiller chaque signal et les traiter en utilisant un processus itératif et fluide pour trouver des solutions en se fondant sur l’expertise de l’équipe de soutien intégré, le contexte des entraîneurs et de superbes voies de communication.

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L’équipe de gestion de la haute performance est composée de Mme Tong, de Dave Paskevich, professeur adjoint à la Faculté de kinésiologie de l’Université de Calgary et conseiller en performance mentale à Patinage de vitesse Canada, et de Scott Maw, physiologiste de l’exercice à l’ICS de Calgary et chef de l’équipe de soutien intégré à Patinage de vitesse Canada, qui se rencontrent chaque semaine pour discuter de tous les détails sur qui, quoi, où, quand et pourquoi.

« Il s’agit de ce que vous entendez, voyez, captez, comme dans la métaphore des satellites », dit M. Maw, qui travaille avec l’équipe de longue piste depuis plus de 15 ans. « Nous partageons tous les renseignements et les signaux et nous nous assurons de les obtenir. Il y a maintenant un processus pour traiter les problèmes. Cela n’aurait jamais été possible auparavant. »

Au cœur de tout cela, il faut s’assurer que les athlètes, chacun d’entre eux, obtiennent ce dont ils ont besoin en intégrant les commentaires et le contexte de chacun pour trouver la bonne solution.

« Nous ne faisons pas que cocher des cases », dit M. Maw. « Si les membres de l’équipe de soutien intégré ne travaillent pas ensemble, ne partagent pas et ne résolvent pas les problèmes, ils ne sont pas aussi forts que lorsqu’ils le font. L’expertise de chacun dans son propre domaine contribue aux solutions. »

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De toute évidence, l’équipe de gestion de la haute performance, l’équipe de soutien intégré et la communauté de l’ICS Calgary ont joué un rôle déterminant dans la recherche et la mise en œuvre des meilleurs outils de gestion de la performance, que ce soit la plus récente technologie pour la surveillance des athlètes ou l’établissement d’un modus operandi de l’équipe de soutien intégré auquel tout le monde croit et s’engage.

L’enthousiasme de M. McClements quant à la culture qu’il vit maintenant est palpable. « Le personnel d’entraînement est vraiment une équipe », dit-il. « La confiance que nous avons envers notre équipe de soutien intégré est énorme. Je fais confiance à tous les membres de l’équipe de soutien intégré, et cela me permet de travailler avec eux. »

Le changement dans la culture (axé sur la performance, dirigé par l’entraîneur et réalisé par l’athlète) a eu une grande incidence sur la manière d’être de l’équipe. Cela va beaucoup plus loin que l’équipe de soutien intégré et les entraîneurs, cela s’est également infiltré dans le cœur des athlètes.

« Ted a perdu la tête lorsque Graeme a battu son record mondial », se souvient M. McClements, qui fait référence au record mondial de 10 000 m de Graeme Fish lors des Championnats du monde simple distance de 2019, qu’il a repris de son coéquipier et champion olympique de 2018, Ted-Jan Bloemen. « Il l’a serré dans ses bras. »

Cela pourra assurément soutenir l’équipe alors qu’elle se dirige vers Beijing en 2022. Mais si vous pensez qu’ils sont assis les pieds en l’air, se félicitant de leur fait accompli, soyez assuré que ce n’est pas le cas. Cultiver la culture est une aventure continue qui ne se termine jamais, et cette équipe le sait.

« Ce n’est pas parfait », déclare M. Maw. « C’est pourquoi nous devons continuer à nous écouter et à nous adapter. Ce qui fonctionne en cette période quadriennale ne fonctionnera probablement pas la prochaine fois, c’est un processus cyclique. Ce qui importe, c’est l’écoute. Il y a encore des lacunes, il suffit d’essayer de les combler. »

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écrit par: Kristina Groves @kngrover

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2 février 2022

 

À propos du réseau ISOP

Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOPC) offre des environnements d’entraînement de classe mondiale aux athlètes de haut niveau et aux entraîneurs à travers le Canada. L’équipe d’experts offre de l’expertise en sciences et en médecine du sport, des services d’entraînement, de recherche et d’innovation, de formation ainsi que le programme Plan de match afin de soutenir des performances menant au podium et un plus grand nombre de médailles pour le Canada. Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada comprend quatre instituts canadiens du sport (Pacifique, Calgary, Ontario et Québec) et trois centres canadiens du sport (Saskatchewan, Manitoba et Atlantique).

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Personne-ressource pour les médias :

Annie Gagnon, directrice, Marketing et communications

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 613 262-9644

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Annie Goncin, directrice, Services aux athlètes et médias numériques

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 647 767-6862

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Les sites d'entraînement d'Équipe Canada seront équipés de cuivre antimicrobien pour améliorer la sécurité

VANCOUVER (1 fevrier 2022) – Teck Resources LImited, le partenaire minier, métallurgique et minéralier officiel du Comité olympique canadien, en partenariat avec le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique (RISOP) du Canada, a annoncé son projet d’équiper les sites d'entraînement de haute performance d'Équipe Canada avec du cuivre antimicrobien sur les surfaces à contact fréquent afin de contribuer à la protection des athlètes. Le cuivre est la seule surface tactile en métal solide enregistrée par Santé Canada et la U.S. Environmental Protection Agency dont la capacité à éliminer jusqu'à 99,9 % des bactéries a été prouvée. 

« L'utilisation de revêtements de cuivre antimicrobiens dans les installations nationales d’entraînement pour les athlètes est une autre étape importante pour améliorer la sécurité par l’entremise de notre programme Copper & Health (cuivre et santé), a déclaré Don Lindsay, président et chef de la direction de Teck. Nous sommes fiers de nous associer au RISOP du Canada et de tester cette initiative à Calgary et en Ontario pour contribuer à la santé et au mieux-être des meilleurs athlètes, entraîneurs et membres du personnel de soutien du Canada. »

L'Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary) et l'Institut canadien du sport de l'Ontario (ICSO) ont été sélectionnés comme sites de projets pilotes afin d’offrir un équilibre entre les sites d'entraînement d'été et d'hiver d'Équipe Canada ainsi que pour soutenir les athlètes dans l’ensemble du Canada.

Teck a investi 200 000 $ CA, soit 100 000 $ sur chaque site, pour installer des revêtements de cuivre antimicrobiens sur les équipements d'exercice et les espaces à contact fréquent, y compris les poignées d'haltères, les équipements d'exercice et les poignées de porte, en donnant la priorité aux surfaces à contact fréquent qui peuvent propager les germes entre les utilisateurs.

« Nous espérons que ce projet montrera la valeur des environnements bâtis dans les espaces d'exercice pour aider à réduire la propagation des infections sur les surfaces tactiles partagées, a déclaré Gary Davies, président et chef de la direction de l’ICS Calgary. Ce partenariat avec Teck et le RISOP du Canada concorde avec notre engagement envers la science du sport et l'innovation et nous aide aussi à comprendre comment l'exploitation minière canadienne peut directement soutenir la santé et la sécurité des athlètes canadiens. » 

L'installation aura lieu tout au long de l'année civile 2022, au terme de laquelle la faisabilité d’installer du cuivre sur d’autres sites d’entraînement du RISOP du Canada sera évaluée.

« Il s’agit d’une journée emballante, car les résultats pourraient améliorer notre compréhension de la prévention des infections dans les espaces publics partagés dans l’ensemble de la communauté sportive de haut niveau, a déclaré Debbie Low, présidente et chef de la direction de l’ICSO. Le développement de l'installation ne fait que commencer, et nous travaillons en étroite collaboration avec nos partenaires afin de trouver de nouvelles façons de répondre aux exigences uniques des athlètes, des entraîneurs et des praticiens en matière d'entraînement et d'équipement. La possibilité de réduire les infections leur permettra de se concentrer sur l'entraînement, la compétition et la représentation du Canada sur la scène mondiale. » 

Le partenariat avec le RISOP du Canada s'appuie sur le succès des investissements antérieurs de Teck dans l’installation des revêtements de cuivre antimicrobiens dans les établissements de soins de santé et postsecondaires, ainsi que dans les transports en commun. Le programme Copper & Health de Teck a pour but de sensibiliser à l'importance du cuivre antimicrobien pour aider à réduire la propagation des infections dans les espaces très fréquentés.

 

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À PROPOS DE TECK

En tant que l'une des principales sociétés minières du Canada, Teck s'est engagée envers le développement minier et minéralier responsable avec d'importantes unités commerciales axées sur le cuivre, le zinc et le charbon sidérurgique, ainsi que des investissements dans des actifs énergétiques. Le cuivre, le zinc et le charbon sidérurgique de haute qualité sont nécessaires à la transition vers un monde à faible émission de carbone. Teck a son siège social à Vancouver, au Canada, et ses actions sont cotées à la Bourse de Toronto sous les symboles TECK.A et TECK.B et à la Bourse de New York sous le symbole TECK. Apprenez-en plus sur Teck en visitant www.teck.com ou en suivant le compte @TeckResources.

À PROPOS DU PROGRAMME COPPER & HEALTH DE TECK 

Dans le cadre de son programme Copper & Health (cuivre et santé), Teck travaille avec des partenaires partout au Canada et à l’étranger pour accroître l'utilisation de surfaces infusées de cuivre dans les établissements de soins de santé et les espaces publics afin de réduire la propagation des infections. Quand il est installé sur des surfaces à contact fréquent, le cuivre est un éliminateur de bactéries qui a fait ses preuves, réduisant la propagation des infections et améliorant les résultats en matière de santé. L'utilisation accrue de cuivre antimicrobien ne présente aucun avantage commercial pour Teck, car la quantité de métal nécessaire est très faible; l'objectif du programme est d'améliorer la santé et la sécurité des communautés.

Pour plus d'informations sur le rôle du cuivre antimicrobien, le programme Copper & Health et d'autres exemples de cuivre en action, visitez  www.coppersaveslives.com.

À PROPOS DU RISOP DU CANADA

Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOPC) offre des environnements d’entraînement de classe mondiale aux athlètes de haut niveau et aux entraîneurs à travers le Canada. L’équipe d’experts offre de l’expertise en sciences et en médecine du sport, des services d’entraînement, de recherche et d’innovation, de formation ainsi que le programme Plan de match afin de soutenir des performances menant au podium et un plus grand nombre de médailles pour le Canada. Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada comprend quatre instituts canadiens du sport (Pacifique, Calgary, Ontario et Québec) et trois centres canadiens du sport (Saskatchewan, Manitoba et Atlantique).

 

CONTACTS POUR LES MÉDIAS

Annie Gagnon, directrice, marketing et communications
Institut canadien du sport de Calgary
Cell. : 613.262.9644
Courriel : Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Laura Albright, conseillère principale, communications et marketing
Institut canadien du sport de l’Ontario
Cell. : 647.395.7536
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Chris Stannell, gestionnaire des relations publiques
Teck
Tél. : 604-699-4368
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Josh Su, gestionnaire de programme, relations publiques
Comité olympique canadien
Cell. : 647-464-4060
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ONPEUT être agiles

Il court, il court. N’est-ce pas les paroles d’une vieille comptine? Pendant que le furet est occupé à courir dans le bois joli en vue des prochains Jeux olympiques d’hiver à Beijing, nous présentons la première leçon de la série « L’équipe de soutien intégré en détail » : Les équipes de soutien intégré sont aussi agiles et rapides qu’un furet.

L’équipe de soutien intégré est un ensemble d’experts de diverses disciplines qui collaborent pour améliorer la performance et qui fait partie intégrante de tout programme de sport de haut niveau.

Ces experts sont des médecins, des physiothérapeutes, des entraîneurs, des scientifiques du sport, des nutritionnistes, des psychologues du sport, des biomécaniciens et autres, dont plusieurs proviennent des quatre instituts canadiens du sport (ICS) et de trois centres qui constituent le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (Réseau ISOPC).

Quand on dit que les équipes de soutien intégré sont agiles, nous voulons dire qu’elles évoluent et s’adaptent, et quand on dit qu’elles sont rapides, c’est qu’elles sont proactives et savent résoudre les problèmes.

Prenez Ski acrobatique Canada (SAC), l’organisme national de sport (ONS) pour les quatre disciplines de ski acrobatique (bosses, sauts, demi-lune, slopestyle). Dans le climat de réchauffement planétaire actuel, la chasse à la neige est devenue une force motrice dans le programme. Par nécessité, l’équipe de Ski acrobatique Canada est décentralisée, ce qui signifie qu’elle est dispersée dans tout le pays et que le défi consiste alors à optimiser l’entraînement sur la neige et les compétitions partout dans le monde. Comment y arrivent-ils?

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Pour aider à gérer la complexité du programme, SAC compte sur l’expertise et le soutien de trois membres du Réseau ISOPC : Pacifique, Calgary et Québec.

Adrian King, directeur des sciences et de la médecine du sport et chef de l’équipe de soutien intégré de Ski acrobatique Canada, affirme que, puisque l’équipe est décentralisée, elle a créé une équipe de soutien intégré dans tout le pays constituée d’un groupe d’une grande expérience de thérapeutes, de médecins et de scientifiques du sport de haut niveau.

M. King affirme que l’accès à des experts par l’intermédiaire des ICS peut également être utile du point de vue du contrôle de la qualité. « Les instituts canadiens du sport nous aident à intégrer des membres de l’équipe de soutien intégré que nous connaissons déjà, des gens et des praticiens de qualité. » Ce sont ceux qui évoluent et qui s’adaptent. C’est la partie « agile ».

Todd Allison, directeur de haute performance, bosses et sauts à Ski acrobatique Canada, affirme que le partenariat avec le Réseau ISOPC permet également à Ski acrobatique Canada de demander des conseils d’experts dans de courts délais, d’utiliser les installations pour l’entraînement et la logistique, de réserver de l’espace de laboratoire pour les tests et des analyses, et de permettre aux athlètes d’accéder aux services de Plan de match, le programme canadien de bien-être des athlètes qui vise à soutenir les athlètes des équipes nationales à vivre une vie équilibrée et holistique.

« Ce sont les choses extraordinaires que nous obtenons de l’équipe de soutien intégré, explique M. Allison. Les instituts canadiens du sport peuvent essentiellement nous servir où que nous soyons. Ils nous aident à résoudre tous les problèmes qui surviennent. Si nous avons un problème, ils peuvent le résoudre. » C’est la partie « rapide ».

Voici un exemple concret de rapidité et d’agilité. Andrew Kates, préparateur physique à l’ICS Pacifique et un élément clé de l’équipe de soutien intégré de la SAC, reçoit un appel téléphonique. « J’ai l’impression que nous n’aurons pas un bon centre de réchauffement aux Jeux olympiques de Beijing. » Ça ne l’affecte pas : « Oui, et alors? »

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Composer avec les imprévus est une routine pour M. Kates et toute l’équipe de SAC, y compris l’équipe de soutien intégré et les athlètes. « Nous trouvons des solutions rapides et uniques pour la formation en tout temps », explique Kates. « Parfois, on se réchauffe dans les cafétérias et les couloirs. »

Il est aussi agile. Son rôle principal consiste à élaborer et à mettre en œuvre des programmes d’entraînement hors neige. La principale compétence qu’il a favorisée est l’acquisition de connaissances spécialisées de la demi-lune pour comprendre et répondre aux exigences du sport. « Il n’y a pas de manuel sur la façon de construire une demi-lune, explique Kates. J’utilise mes connaissances des sports plus traditionnels et j’utilise cette expérience pour voir comment de nouvelles choses s’appliqueront à ce sport spécialisé. »

Pour Kates, cela signifie qu’il faut constamment s’adapter et peaufiner ses programmes d’entraînement et innover en créant ses propres outils de collection de données et de surveillance pour suivre chaque saut.

Mais la prochaine étape met en évidence le véritable pouvoir de l’équipe de soutien intégré et c’est l’un de ses traits distinctifs : partager l’information et les connaissances de toutes les disciplines au sein des membres de l’équipe de soutien intégré afin de prendre de meilleures décisions et d’élaborer de meilleurs plans pour améliorer la performance des athlètes. Comme Ski acrobatique Canada est décentralisé, Kates peut puiser dans l’expertise d’autres experts du Réseau ISOPC.

« Cette collaboration est essentielle pour offrir un environnement de performance optimal », affirme Lu Bonnet, conseiller en sport de haut niveau à l’Institut national du sport du Québec (INS Québec). Ski acrobatique Canada se fie à l’INS Québec pour répondre aux besoins et aux normes en matière de collecte de données et facilite le partage des connaissances avec l’équipe de soutien intégré qui profite directement aux athlètes.

Ce n’est pas toujours fluide et la communication peut être un défi, mais c’est une façon pour les experts de se côtoyer et de collaborer, ce qui fait passer le sport à des niveaux de performance supérieurs. Développer les connaissances, partager, améliorer, répéter.

Voilà! Vous avez eu votre première leçon sur l’équipe de soutien intégré. ONPEUT être agile et rapide. Les experts du Réseau ISOPC développent des connaissances spécialisées, se les partagent entre eux et s’épanouissent auprès d’un sport complexe et décentralisé.

 

Institute Canadien du Sport de Calgary: @csicalgary

écrit par: Kristina Groves @kngrover

photos de: Dave Holland @DaveHollandPics

16 décembre 2021

 

À propos du réseau ISOP

Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOPC) offre des environnements d’entraînement de classe mondiale aux athlètes de haut niveau et aux entraîneurs à travers le Canada. L’équipe d’experts offre de l’expertise en sciences et en médecine du sport, des services d’entraînement, de recherche et d’innovation, de formation ainsi que le programme Plan de match afin de soutenir des performances menant au podium et un plus grand nombre de médailles pour le Canada. Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada comprend quatre instituts canadiens du sport (Pacifique, Calgary, Ontario et Québec) et trois centres canadiens du sport (Saskatchewan, Manitoba et Atlantique).

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Personne-ressource pour les médias :

Annie Gagnon, directrice, Marketing et communications

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 613 262-9644

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Noah Wheelock, directeur général, Exploitation et Communications

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Jean Gosselin, directeur, Communications et marketing

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Laura Albright, conseillère principale, Communications et marketing

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Jaime Lammerding, coordonnatrice des communications

Centre canadien multisport du Saskatchewan

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Sarah MacNeil, chef de projet et des communications

Centre canadien multisport de l’Atlantique

Cellulaire : 902 595-0485

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Jessie Davis, spécialiste, Marketing et communications

Centre canadien multisport du Manitoba

Cellulaire : 204 891-5441

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ONPEUT être en orbite autour des étoiles

Imaginez un réseau de satellites qui filent dans l’espace, en orbite autour de la planète Patinage artistique. Ils reçoivent des signaux des « étoiles » sur la surface glacée en dessous. Les satellites traitent ensuite ces signaux et transmettent l’information clé à la surface, qui est utilisée par les étoiles pour optimiser et réaliser leur meilleure performance.

Kelly Quipp est l’un de ces satellites. La physiologiste principale de l’exercice à l’Institut canadien du sport (ICS) de Calgary et chef de l’équipe de soutien intégré nationale de Patinage Canada dirige une équipe d’experts de nombreux domaines, dont le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (Réseau ISOPC), qui travaillent ensemble pour évaluer, surveiller et améliorer constamment la performance.

Bien sûr, ces étoiles sont les meilleurs et les plus brillants patineurs artistiques du Canada qui rivalisent tous pour la gloire olympique, avec passion et persévérance en utilisant leurs lames pour ciseler la glace avec précision et créativité.

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Le lien cosmique entre les satellites et les étoiles est relativement nouveau. « Il s’agit d’un sport qui n’utilise pas les sciences du sport », remarque Mike Slipchuk, directeur de la haute performance de Patinage Canada. « Nous apportons de nouveaux concepts, idées et méthodes, comme la force et le conditionnement physique, que nous n’avons pas utilisés auparavant, différentes façons de s’entraîner. »

Dans un sport qui a tant à voir avec l’art, la mise en place de l’équipe de soutien intégré nationale a contribué à faire avancer la science. « C’était une occasion de mettre à profit les experts », confirme M. Slipchuk. « Et de voir comment nous pouvons faire fonctionner cette approche en patinage artistique. » 

Le développement a été lent, mais efficace à Patinage Canada. Non seulement le sport est décentralisé à travers le pays, mais chaque patineur est comme une planète en soi, chacun avec son propre entraîneur et, dans de nombreux cas, son équipe de soutien intégré. « Il existe différentes façons de faire atteindre aux athlètes leurs performances optimales, ce n’est pas une approche universelle », explique M. Slipchuk. « Chaque approche est adaptée aux athlètes et aux situations individuelles. »

S’entraînant principalement à l’Institut canadien du sport de l’Ontario (ICSO) à Toronto et à l’Institut national du sport du Québec à Montréal, toutes les étoiles de Patinage Canada comptent sur un vaste réseau de satellites connectés pour maximiser tous les aspects de leur préparation. 

La caractéristique clé est la transmission constante des signaux entre les membres des équipes de soutien intégré locales et nationale, comme les thérapeutes, les nutritionnistes, les médecins, les préparateurs physiques et d’autres. Ces experts soutiennent l’équipe avec une vaste gamme d’outils, y compris des initiatives comme le système de surveillance des blessures et des maladies mis en œuvre par Mme Quipp, et où les patineurs fournissent des mises à jour hebdomadaires sur leur santé.

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Le solide noyau de conseillers qui composent l’équipe de soutien intégré nationale remplit de nombreux rôles. Dans certains cas, c’est comme membres de l’équipe à part entière ayant des répercussions directes sur l’entraînement et la performance d’un patineur, dans d’autres, c’est comme des conseillers qui offrent un soutien plus périphérique. « Nous sommes le centre de commandement », dit Mme Quipp. « Les athlètes et les entraîneurs savent que nous sommes là pour les soutenir, mais nous ne les dérangerons pas s’ils sont sur la bonne voie. »

Prenez Paul Poirier et Piper Gilles, le meilleur duo de danse sur glace au Canada. Les médaillés de bronze des Championnats du monde de patinage artistique de 2021 qui se préparent aux Jeux olympiques ont créé leur propre équipe de soutien intégré sur mesure, composée d’experts dans de nombreux domaines, dont certains sont des prestataires de services indépendants et d’autres qui proviennent Réseau ISOPC.

Le couple a travaillé en étroite collaboration avec Mme Quipp à partir de septembre 2019, où elle a donné des conseils sur leur formation, sur glace et hors glace, pour aider à tester et à mettre en œuvre des séquences d’entraînement optimales. « Ils ont beaucoup appris de ce processus », affirme Mme Quipp. Lorsque la pandémie a frappé, Paul et Piper se sentaient à l’aise de prendre les rênes. Maintenant, Mme Quipp aide principalement aux tests, aux résultats et au transfert de tout problème à l’équipe locale.

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Une membre clé de cette équipe de soutien intégrée est Meghan Buttle, physiothérapeute à l’ICSO qui travaille avec Patinage Canada, et qui est aussi chef de l’équipe de soutien intégré à Patinage Ontario et ancienne patineuse spécialisée en danse. Mme Buttle est la thérapeute principale du couple depuis 2016 et se considère comme le « regard sur le sol » pour Paul et Piper. « Ils sont les pilotes de leur propre équipe », dit-elle. « Mais je peux fournir des informations supplémentaires en surveillant et en partageant les signaux avec le réseau, au besoin. »

Nick Robinson, préparateur physique indépendant, travaille également avec eux depuis 2016. Il souligne que ce qui distingue le couple est leur expérience, leur maturité et leur concentration. « Ils travaillent en parfaite harmonie avec leur équipe. Ils sont tout à fait capables de relayer des problèmes importants et il est rare que quelque chose se passe mal », dit-il.

Comme l’un des nombreux satellites en orbite constante autour de la planète Patinage artistique, ce sont ces signaux que M. Slipchuk veut recevoir. « Nous voulons simplement nous assurer que tout le monde a ce dont il a besoin. » 

Une fois que cela est fait. Une fois que tous ces signaux ont été reçus, traités et transmis, les lumières s’éteignent et les satellites savent qu’il est temps de faire un zoom arrière et de faire briller ces étoiles.

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Institute Canadien du Sport de Calgary: @csicalgary

écrit par: Kristina Groves @kngrover

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2 février 2022

 

À propos du réseau ISOP

Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada (RISOPC) offre des environnements d’entraînement de classe mondiale aux athlètes de haut niveau et aux entraîneurs à travers le Canada. L’équipe d’experts offre de l’expertise en sciences et en médecine du sport, des services d’entraînement, de recherche et d’innovation, de formation ainsi que le programme Plan de match afin de soutenir des performances menant au podium et un plus grand nombre de médailles pour le Canada. Le Réseau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada comprend quatre instituts canadiens du sport (Pacifique, Calgary, Ontario et Québec) et trois centres canadiens du sport (Saskatchewan, Manitoba et Atlantique).

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Annie Gagnon, directrice, Marketing et communications

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 613 262-9644

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Noah Wheelock, directeur général, Exploitation et Communications

Institut canadien du sport Pacifique

Cellulaire : 250 220-2534

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Jean Gosselin, directeur, Communications et marketing

Institut national du sport du Québec

Cellulaire : 514 757-9092

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Laura Albright, conseillère principale, Communications et marketing

Institut canadien du sport de l’Ontario

Cellulaire : 647 395-7536

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Jaime Lammerding, coordonnatrice des communications

Centre canadien multisport du Saskatchewan

Cellulaire : 306 975-0830

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Sarah MacNeil, chef de projet et des communications

Centre canadien multisport de l’Atlantique

Cellulaire : 902 595-0485

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Jessie Davis, spécialiste, Marketing et communications

Centre canadien multisport du Manitoba

Cellulaire : 204 891-5441

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Les entreprises de technologie du sport et de la santé de l’Ouest canadien bénéficient de services de mise à l’essai d’articles améliorés

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Le 21 décembre 2021

CALGARY, ALBERTA Les petites et moyennes entreprises qui travaillent à développer et à commercialiser de nouvelles technologies du sport ou de la santé profiteront d’un nombre accru de services d’essai, de validation et de recherche offerts par l’Institut canadien du sport de Calgary (ICS Calgary); en partie grâce au financement fédéral offert par le biais de Développement économique Canada pour les Prairies (PrairiesCan).

L’ICS Calgary élargit sa capacité opérationnelle afin d’offrir des essais de qualité aux petites et moyennes entreprises qui développent des articles novateurs pour le sport et la santé. La mise à l’essai et la validation des articles afin de respecter ou de dépasser les normes de sécurité et de conformité constituent une étape essentielle de la commercialisation de nouveaux articles pour le secteur des technologies du sport et de la santé.

L’ICS Calgary est un organisme sans but lucratif qui se consacre à créer et à former les athlètes, les entraîneurs et les professionnels en science du sport. Le groupe d’essai d’articles de sport de l’ICS Calgary soutient le développement d’articles de santé et de bien-être pour les populations générales et sportives.

« Nous travaillons au sein de l’écosystème de la santé et du sport dans l’Ouest canadien pour aider les entreprises à comprendre leurs articles, à les améliorer et à contribuer à leur succès. »

  • Pro Stergiou, chef du développement des affaires pour le groupe d’essai d’articles de sport

Le groupe travaille avec des entreprises locales et a déjà travaillé avec des marques connues comme Under Armour, Lululemon et Polar.

Le gouvernement du Canada, par l’intermédiaire de Développement économique Canada pour les Prairies (PrairiesCan), investira 315 000 $ sur trois ans pour permettre au groupe d’essai des articles de sport de l’ICS Calgary d’élargir sa capacité à fournir des services aux entreprises dans les domaines du sport et de la santé.

« L’investissement du gouvernement du Canada à l’Institut canadien du sport de Calgary profitera directement aux entreprises de l’Ouest canadien alors qu’elles commercialisent de nouvelles idées et de nouveaux articles pour l’industrie de la technologie du sport et de la santé. Cette initiative aidera les petites et moyennes entreprises à démontrer et à préparer leurs articles pour le marché, leur permettant de répondre aux demandes des consommateurs et de faire croître leur gamme d’articles dans ce secteur unique de notre économie. »

  • L’honorable Daniel Vandal, ministre des Affaires du Nord, ministre responsable de Développement économique Canada pour les Prairies et ministre responsable de l’Agence canadienne de développement économique du Nord

Le groupe d’essai d’articles de sport de l’ICS Calgary collaborera avec les entreprises pour la validation et l’évaluation des technologies et des vêtements de sport et de santé, y compris les technologies portables et l’analyse des données connexes. L’investissement fédéral appuie l’accent de l’ICS Calgary sur l’aide aux petites et moyennes entreprises dans les secteurs du sport et de la santé pour lancer de nouveaux articles et projets commerciaux concurrentiels.

« En tant que chefs de file en matière de recherche et d’innovation dans le domaine du sport de haut niveau, ce financement nous aidera à faire croître nos activités d’essai d’articles et à élargir notre gamme de services. Il nous aidera également à soutenir et à développer les entreprises locales qui travaillent à offrir de nouveaux articles dans le marché mondial du sport et de la santé. »

  • Gary Davies, président et chef de la direction, ICS Calgary

 

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À propos des essais d’articles de sport

Nous extrayons des données significatives et pertinentes afin que des articles plus précis et utilisables soient disponibles pour les consommateurs. Avec une compréhension approfondie de la performance fonctionnelle et des perceptions des consommateurs, nous pouvons fournir des services à toutes les étapes du cycle de développement des articles pour nos clients.

À propos de l’Institut canadien du sport de Calgary

L’Institut canadien du sport de Calgary offre des environnements d’entraînement de classe mondiale en Alberta. Avec l’appui de nos partenaires, nous offrons des services de science et de médecine du sport ainsi que de formation des entraîneurs et des services aux athlètes de calibre mondial pour appuyer les athlètes de haut niveau canadiens pour qu’ils parviennent à monter sur le podium olympique ou paralympique. www.csialberta.ca

À propos de Développement économique Canada pour les Prairies (PrairiesCan)

Développement économique Canada pour les Prairies (PrairiesCan) est le ministère fédéral qui soutient la croissance économique en Alberta, en Saskatchewan et au Manitoba. Ses programmes et ses services aident les entreprises, les organismes sans but lucratif et les collectivités à se renforcer. Son mandat consiste à soutenir la croissance économique et la diversification dans les provinces des Prairies et à faire progresser les intérêts de la région dans les politiques, programmes et projets économiques nationaux.

 

Personne-ressource pour les médias :

Annie Gagnon, directrice, Marketing et communications

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 613 262-9644

Courriel : Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Annie Goncin, directrice, Services aux athlètes et médias numériques

Institut canadien du sport de Calgary

Cellulaire : 647 767-6862

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